Le matériel indispensable pour cuisiner le poisson
Oui, je vous ai avant tout embarqué dans cette aventure gourmande afin de vous faire découvrir des
adresses autres que les restaurant japonais pour manger du poisson. Comme j’ai évoqué mes
plats favoris, les idées recettes ne vont certainement pas tarder à apparaître sur mon blog.
C’est donc pour mieux vous préparer à ces préparations gourmandes que je vous propose la liste
des ustensiles indispensables pour préparer vos poissons.
L’écailleur
Tout est dans le nom : c’est l’outil indispensable pour écailler les poissons. Il en
existe différentes sortes. Pour ma part, j’utilise un écailleur à lame courbe pour les petits
poissons et des modèles qui ressemblent à de grands grattoirs pour les espèces plus grandes. Les
lames de l’écailleur sont dentelées. Les dents en question peuvent être fines ou larges et
espacées. A vous de voir quel écailleur vous convient le mieux selon les spécimens que vous cuisinez
habituellement.
La pince à arête de poisson
Un poisson sans arête, ça n’existe pas. Il faut donc désarêter le poisson avant ou pendant la
dégustation. Il existe justement des pinces spécialement fabriquées à cet effet. Certains modèles
rappellent un peu les pinces à épiler. D’autres s’apparentent plus à des ciseaux. Dans
tous les cas, l’essentiel est que vous soyez à l’aise lorsque vous maniez votre
ustensile.
Les couteaux à poisson
Ne vous y méprenez pas car il ne s’agit pas des couteaux utilisés pour savourer les poissons à
table. Je vous parle plutôt des couteaux à lames effilées, parfois recourbées. Ils permettent de
lever le filet sans difficulté pour une présentation aussi impeccable que dans nos restaurants les
plus prestigieux. Vous verrez qu’avec cet ustensile, vous pourrez lever vous-même un dos de
cabillaud destiné à la friture ou à des préparations gratinées. J’ai d’ailleurs trouvé
mon couteau à poisson sur le site https://www.kitchen.fr/
Les meilleurs plats à base de poisson
La bouillabaisse
Cette soupe de poisson est née à Marseille au VIIe siècle avant notre ère. En 1980, la Charte de la
bouillabaisse a été adoptée par les meilleures tables et la tradition se poursuit encore. Selon la
tradition, on utilise impérativement de la vive araignée, de la rascasse et de la rascasse blanche,
du chapon scorpène et du congre. A part le sel et le poivre, on peut ajouter des oignons, de
l’ail, du persil, des pommes de terre, des tomates et du fenouil. Le safran et l’huile
d’olive sont également autorisés par la Charte. Les poissons sont ensuite servis dans un plat
et le bouillon dans un autre. Une sauce du nom de rouille et des croûtons préalablement frottés à
l’ail accompagnent systématiquement cette soupe.
Un plat typique du sud : la bouillabaisse
La paella
D’origine espagnole, la paella tient son nom du récipient dans lequel il est cuisiné.
L’ustensile en question ressemble à une poêle. L’ingrédient de base est le riz rond mais
les saveurs les mieux développées sont celles des poissons et fruits de mer. Poulpe, palourdes,
crabe, écrevisses, amandes de mer, poisson rouge, merlu, moules d'Espagne, les cuisiniers peuvent
révéler leur créativité. Ce plat aux mille et une variantes est servi dans différentes adresses
parisiennes, notamment sur la Place des Vosges et le Boulevard du Montparnasse.
Le Coulibiac saumon
Le Coulibiac ou koulibiac est un pâté en croûte né en Russie. Le saumon et l'esturgeon sont les
poissons fréquemment utilisés pour la farce. Ils sont associés à des œufs durs, de l’aneth et
des champignons. A la découpe, on peut voir les différentes couches de farce savamment disposées
avant la cuisson. Du coup, on se régale d’abord avec les yeux puis avec le palais.
Comme il y a des gourmets allergiques aux poissons, les chefs proposent parfois du koulibiac à
l’escalope de veau ou une autre pièce de viande bien charnue.